Arrivé en 1990 sur la commune et aujourd’hui âgé de 34 ans, je suis chef d’entreprise en services informatiques, vivant avec mon épouse et mes deux enfants dans le quartier de la Gemmetrie.
A
l’époque, mon père Jean-Yves Bignonet, était le directeur et
membre fondateur de l’ESAIP, l’école d’ingénieur de la ville
et ma mère Isabelle Bignonet, infirmière de formation, était
enseignante en science médico-sociale dans un lycée angevin.
Après
une scolarité à l’école Saint-Guillaume, j’ai poursuivi mes
études au collège puis au lycée Saint-Martin à Angers. Durant ces
années, j’ai fait partie des Scouts de France des louveteaux
jusqu’aux pionniers à Saint-Barthélemy d’Anjou. J’ai
apprécié, comme tous les habitants, l’extraordinaire
transformation de notre ville : 4 nouveaux complexes sportifs ;
de nouvelles écoles, la médiathèque de la Ranloue, la piscine et
le Théâtre de l’Hôtel de Ville. Tous ces lieux ont été de
formidables espaces de loisirs et de rencontres..
Après un
BTS à la Baronnerie, j’ai intégré l’ESAIP et obtenu le diplôme
de chef de projet international. J’ai ensuite rejoint l’université
de Barcelone, où j’ai réussi un master 2 en gestion des
technologies de l’information.
La rencontre de ma future épouse m’a emmené à Prague. Après 5 années en République tchèque, je suis revenu avec ma famille à Saint-Barthélemy-d’Anjou, et j’ai créée mon entreprise de services informatiques Bignonet IT Services. Puis, je me suis lancé dans de nouvelles recherches avec une équipe d’ingénieurs et d’experts pour répondre aux besoins de la navigation de plaisance en créant Kara Technology. Enfin, j’ai ouvert Station C, l’espace de coworking de Saint-Barthélemy-d’Anjou, qui héberge 13 entreprises aujourd’hui.
Politiquement, je suis devenu en 2014 conseiller municipal dans la commune et je me suis vu confier le rôle de délégué à la vie économique et à l’emploi. Cette fonction m’a permis d’apprendre et de comprendre les règles de fonctionnement de notre ville et son interaction avec l’agglomération d’Angers. J’ai organisé régulièrement des rencontres avec les acteurs de la plus grande zone industrielle du département, qui emploient autant de personnes que St-Barthélemy-d’Anjou compte d’habitants.
Aujourd’hui, je suis tête de liste « ETRE HEUREUX 2020 » aux élections municipales et lance un appel aux Bartholoméennes et Bartholoméens pour imaginer notre ville et sa capacité à rebondir pour mieux grandir. Je fais mienne la citation de Pierre Rabhi : « les utopies d’aujourd’hui sont les solutions de demain ». Saint-Barthélemy-d’Anjou doit rayonner et se donner les moyens pour que ses habitants soient heureux ! Et pour cela, j’assurerai demain les fonctions de Maire à plein temps, si les électeurs adhèrent à notre projet.